Découverte - De l'art en Babybel

Les sculptures de Gianluca Maruotti //

 

4

Réaliser un stop motion avec cette étrange matière rouge qu’est la peau de nos Babybel, on a déjà tous plus ou moins essayé… pour un résultat souvent peu concluant.
L’artiste italien Gianluca Maruotti s’est quant à lui bien approprié le petit fromage de notre enfance. Ce sculpteur sur pâte à modeler et illustrateur a réalisé pour son projet « Keep Unrwapping » des figurines épiques et rigolotes avec la peau du Babybel. Armé de cures dents et d’outils professionnels, l’artiste maîtrise parfaitement la technique de la sculpture en cire. Le résultat ? Un pirate à la jambe de bois ou encore un kangourou boxer aux finitions surprenantes.

Faire preuve de patience ou manger tout le paquet de Babybel : il n’y a plus qu’à faire son choix.


Vous aimerez aussi…

©Photo_ Tanguy Beurdeley. Courtesy Perrotin-3
  • Incontournable
  • Contemporain

Emmanuel Perrotin, le galeriste qui a ouvert les portes du rêve

Perrotin Store
76 rue de Turenne, 75003

Plongez dans l’art contemporain avec le Perrotin Store : éditions, prints, objets & multiples signés par les artistes d’aujourd’hui — en ligne et à Paris.

unnamed (65)
  • Découverte
  • Gratuit

In the main in the more 

FONDATION PERNOD RICARD
Du 18 novembre 2025 au 31 janvier 2026

Plastiques moirés, rubans, bakélite, silicone, verre… Chez Beatrice Bonino, les matières pauvres montent en gamme et les reliques intimes virent talismans.

Leny Guetta, Les Murmures, 2025, oil on canvas, 114 x 195 cm, Courtesy of the artist and Galerie Minsky (1)
  • Découverte
  • Insolite

Des murmures à la Galerie Minsky

GALERIE MINSKY
Du 23 octobre au 6 décembre 2025

Les personnages de Guetta habitent un clair-obscur intérieur, silhouettes ambiguës, visages androgynes, identités en suspens.

4. Unearthed - Sunlight (1)
  • Incontournable
  • Découverte

Exposition Otobong Nkanga. Rêver en couleurs au Musée d'Art Moderne de Paris

MUSÉE D’ART MODERNE DE PARIS
Du 10 octobre 2025 au 22 février 2026

Née à Kano, au Nigeria, en 1974, Otobong Nkanga tisse depuis trois décennies une œuvre qui relie matière et histoire, blessures et réparations.