Les trouvailles d'Henri Cernuschi en Asie exposées au Musée Cernuschi
Musée Cernuschi Du 6 octobre 2023 au 4 février 2024
22
Suivez les pas d’un collectionneur épris de voyages tombé en adoration pour le Pays du Soleil-Levant. Du Japon à l’Indonésie, de l’Antiquité à nos jours, cette somptueuse exposition retrace l’itinéraire d’Henri Cernuschi depuis son voyage en Extrême-Orient jusqu’à son retour à Paris où ce proche d’Émile Zola et de Léon Gambetta fonde l’un des premiers musées d’art asiatique au monde. Sur les 5000 œuvres d’art, bronzes, céramiques, peintures, estampes et livres illustrés que cet acheteur un brin compulsif ramène d’Asie, l’institution dévoile quelques-uns de ses plus beaux trésors, à l’image de précieux vase Lei vieux de 3000 ans ou de ce brûle-parfum cuivré hérité de la dynastie Qing. Le clou du spectacle ? Un groupe de dragons japonais entièrement restauré qui n’avait pas été exposé depuis 1930.
M et T sont des marques de la RATP. Sous réserve de disponibilité, les logotypes de la RATP sont téléchargeables et exploitables gratuitement à partir du site data.ratp.fr dans les conditions visées au sein de celui-ci.
CHÂTEAU DE VERSAILLES Du 25 novembre au 3 mai 2026
C’est une scène oubliée de l’Histoire : en 1725, quatre chefs amérindiens et la fille d’un chef du Missouri traversent l’Atlantique pour être reçus à la cour de Louis XV. Derrière ce voyage diplomatique extraordinaire, une alliance politique se joue entre la France et les nations autochtones de la vallée du Mississippi, sur fond de rivalités coloniales.
MUSÉE DU QUAI BRANLY – JACQUES CHIRAC Du 18 novembre 2025 au 1er mars 2026
Ils surgissent des brumes de Chine, tracés sur le jade il y a cinq millénaires, puis coulés dans le bronze, peints sur les soieries impériales ou encore réinventés par les artistes d’aujourd’hui. Le…
FONDATION AZZEDINE ALAÏA Du 1ᵉʳ décembre 2025 au 24 mai 2026
En 1956, le jeune Azzedine Alaïa, tout juste arrivé de Tunis, franchit pour la première fois les portes de la maison Christian Dior. Il y effectue un stage éclair, observe les gestes précis des petites mains, l’allure des mannequins, le ballet silencieux d’un atelier en pleine effervescence. Il n’oubliera jamais ce moment : la naissance d’une vocation, dans le sillage du couturier qu’il considérait comme un dieu.
Nous pensions connaître Dior par ses icônes, ses corolles, ses tailleurs à la taille de guêpe. Nous redécouvrons la maison à travers un autre regard : celui d’Azzedine Alaïa, couturier-collectionneur qui, dans le secret de son atelier, a patiemment rassemblé un patrimoine de près de six cents pièces.
Suivez-nous !
Inscrivez-vous
Gratuitement
Chaque semaine, les bons plans culturels du week-end