WINGEN SUR MODER // Retour aux sources
Jusqu’au 5 novembre 2017 -
Musée Lalique //
Retour aux sources, quand Lalique s’inspire du monde
À la fin du XIXe siècle, début XXe, deux mouvements artistiques se développent et prennent leur envol. C’est d’abord à l’Art nouveau de faire son apparition, très vite talonné par l’Art décoratif. Le premier joue sur des formes sinueuses, organiques, tandis que le second tend vers une rigueur géométrique, synthétique, mais tous deux émergent d’une volonté commune à leur époque, faire converger l’art et l’utile. Un nouveau siècle aspire à de nouvelles ambitions, de nouveaux thèmes et surtout de nouvelles matières. L’artiste, puis le designer, ont une mission d’intérêt public, faire pénétrer la modernité de plain-pied dans le quotidien en toute harmonie, que ce soit par l’architecture, la mode ou la décoration. C’est ainsi que l’artiste joaillier et maître verrier René Lalique va se distinguer, se faire une place dans un monde en métamorphose. Il innove radicalement par l’utilisation d’ivoire dans la création artistique, d’émail, de pierres semi-précieuses et surtout de verre, matières encore peu considérées à l’époque. Il crée ainsi des pièces uniques pour les plus grandes maisons de luxe comme Cartier ou Jacta, et sublime les vedettes de ces années folles, notamment la comédienne Sarah Bernhardt. Les femmes et leurs corps le fascinent, à même titre que la faune et la flore, les trois « F » comme on les appelle, qui définissent ses grands axes de création. L’exposition que présente aujourd’hui le musée Lalique tente alors de revenir sur les différentes sources d’inspiration qui ont mené l’artiste vers tant d’avant-gardisme. On passe de l’Antiquité gréco-romaine et Égyptienne, au New York des années 1920 sans oublier le Moyen-Age. Des motifs et matières japonisantes, René Lalique ne manque pas non plus de se fasciner pour l’Amérique Latine, l’Afrique ou encore la Russie, tout particulièrement pour ses ballets iconiques. L’occasion de découvrir des pièces jamais ou rarement montrées au public jusqu’à présent.
Musée Lalique
Jusqu’au 5 novembre 2017
Rue du Hochberg, 67290 Wingen-sur-Moder





![1. Portrait de femme dit de Mata-Hari (1) [#Beginning of Shooting Data Section]
Taille d'image :L (8256 x 5504), FX
12/03/2025 12:52:59.37
Fuseau horaire/date :UTC+1, Heure d'été:Activée
RAW, compression sans perte (14 bits)
Photographe :Alain Leprince
NIKON Z 7II
Objectif :NIKKOR Z MC 50mm f/2.8
Focale :50mm
Mode mise au point :AF-S
Zone AF :AF zone automatique
VR :ON (Normal)
Réglage précis AF :Désactivé
Ouverture :f/6.3
Vitesse d'obturation :1/160s(Automatique)
Mode d'exposition :M
Correction expo. :0IL
Régl. précis expo. :
Mesure :Matricielle
Sensibilité :ISO 64
Modèle :
Balance des blancs :Pré-réglage manuel d-4, 0, 0
Espace colorimétrique :Adobe RVB
Réduc. bruit ISO :Normale
Réduction du bruit :Désactivée
D-Lighting actif :Désactivé
Contrôle du vignetage :Normal
Contrôle auto de la distorsion :Activé
Correction de la diffraction :Activée
Picture Control :[NL] Neutre
Fondé sur :[NL] Neutre
Niveau de l'effet :
Réglage de l'accentuation : 0.00
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[#End of Shooting Data Section]](https://www.arts-in-the-city.com/wp-content/uploads/2025/10/1-portrait-de-femme-dit-de-mata-hari-1-200x112.jpg)

