Les ombres d'Agustín Cárdenas exposées à la Maison de l'Amérique Latine
Maison de l'Amérique Latine Du 9 juin au 6 août 2021
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Célébré dans le monde entier pour ses sculptures, Agustín Cárdenasa pourtant développé un univers poétique et sensuel, mêlant silhouettes allongées, générosité organique et formes abstraites, par sa pratique du dessin. Griffonnant jour et nuit, l’artiste cubain, dessinateur compulsif, ne quittait jamais son crayon. Berceau de sa création, ses dessins, dont les courbes rappellent plusieurs de ses créations, témoignent du corps à corps ininterrompu exercé entre les deux techniques. Indissociables dans son œuvre, la sculpture et le dessin se sont l’un et l’autre influencés nourrissant ensemble un imaginaire chimérique et voluptueux. L’exposition, intitulée « Mon Ombre après minuit » d’après une sculpture de l’artiste, dévoile ainsi un vaste ensemble d’œuvres graphiques sur papier, dont la plupart n’ont jamais été montrées au public.
M et T sont des marques de la RATP. Sous réserve de disponibilité, les logotypes de la RATP sont téléchargeables et exploitables gratuitement à partir du site data.ratp.fr dans les conditions visées au sein de celui-ci.
Susanna Inglada réinvente le dessin en art sculptural et politique : silhouettes fragmentées, papier et céramique dévoilent violence, pouvoir et résistance.
Du 15 janvier au 21 mars 2026 Galerie David Zwirner
Il suffit parfois de deux formes presque jumelles pour faire basculer une certitude. L’exposition que David Zwirner consacre à Josef Albers orchestre précisément ce trouble : un jeu d’échos, de glissements infimes, d’écarts millimétrés qui redéfinissent notre manière d’appréhender la couleur.
L’abstraction peut tonner, s’imposer, envahir l’espace. Emily Mason a choisi l’exact inverse. L’exposition qu’Almine Rech consacre à cette figure majeure de la scène américaine révèle une peinture débarrassée du vacarme héroïque des années 1950, une œuvre qui avance par lumière plutôt que par emphase.
Du 27 janvier au 5 avril 2026 BnF - Site François Mitterrand
C’est une histoire d’amour qui n’a jamais pris fin. Celle d’une femme vêtue de noir, silhouette longiligne, regard de braise et voix de velours, qui chantait la fragilité comme on respire. Près de trente ans après sa disparition, Barbara revient sur scène – ou presque.
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