Exposition Cabinets de Curiosités au MusVerre : l'exposition dédiée au verre
MusVerre
Jusqu'au 21 août 2022
Créatures hybrides, trompe-l’œil botaniques et autres chefs-d’œuvre oniriques... Le temps d’une exposition spectaculaire, le temple européen de la création verrière revisite le thème du cabinet de curiosités à la lumière de son extraordinaire savoir-faire. L’institution qui a repeint pour l’occasion ses murs d’une couleur bleu nuit présente actuellement sa collection d’œuvres d’art rares et précieuses, dressant sous nos yeux un captivant inventaire du monde vivant. Au fil d’une scénographie immersive, le MusVerre dévoile ainsi ses bizarreries, des œuvres cristallines d’une beauté aussi fragile que délicate, signées par des artistes virtuoses parmi les plus talentueux de leur génération. Lors de notre déambulation, nous croisons sur notre chemin d’étranges créations inspirées du règne animal ou végétal, comme ce bestiaire fantastique peuplé d’un minuscule scarabée coloré, d’araignées surdimensionnées aux pattes métalliques ou de cette chimère aux larges ailes déployées dont les plumes semblent être aussi claires et tranchantes que du cristal. Soudain, nous quittons la profondeur des abysses pour une flore exubérante reproduisant pas à pas l’atmosphère des véritables cabinets de curiosités de la Renaissance. Ici des fleurs séchées, là un herbier en verre, plus loin encore, une série de petites fioles d’apothicaire. Nous passons devant des créations d’une rare élégance faites d’arabesques et dont les filaments paraissent aussi fins que de la dentelle, avant de nous arrêter sur cette époustouflante réinterprétation des vanités du XVIIe siècle. Le souffleur de verre Elliot Walker, star d’un programme Netflix, n’a semble-t-il rien oublié du répertoire allégorique illustrant le caractère éphémère de l’existence avec ce cierge éteint, ce crâne humain et cette grappe de raisin. Chaque création témoigne ici de l’impermanence de toute chose et pourtant, l’artiste britannique dépoussière le genre en utilisant un verre de couleur verdâtre fluorescent brillant dans l’obscurité. Une œuvre manifeste à l’image de cette boule de feu, cellule XXL de la covid-19 enfermée sous cloche, qui nous rappelle, comme toutes les autres pièces de l’exposition, la douce fragilité de la vie.
MusVerre
Jusqu'au 21 août 2022
76 rue du Général De Gaulle, 59216 Sars-Poteries





![1. Portrait de femme dit de Mata-Hari (1) [#Beginning of Shooting Data Section]
Taille d'image :L (8256 x 5504), FX
12/03/2025 12:52:59.37
Fuseau horaire/date :UTC+1, Heure d'été:Activée
RAW, compression sans perte (14 bits)
Photographe :Alain Leprince
NIKON Z 7II
Objectif :NIKKOR Z MC 50mm f/2.8
Focale :50mm
Mode mise au point :AF-S
Zone AF :AF zone automatique
VR :ON (Normal)
Réglage précis AF :Désactivé
Ouverture :f/6.3
Vitesse d'obturation :1/160s(Automatique)
Mode d'exposition :M
Correction expo. :0IL
Régl. précis expo. :
Mesure :Matricielle
Sensibilité :ISO 64
Modèle :
Balance des blancs :Pré-réglage manuel d-4, 0, 0
Espace colorimétrique :Adobe RVB
Réduc. bruit ISO :Normale
Réduction du bruit :Désactivée
D-Lighting actif :Désactivé
Contrôle du vignetage :Normal
Contrôle auto de la distorsion :Activé
Correction de la diffraction :Activée
Picture Control :[NL] Neutre
Fondé sur :[NL] Neutre
Niveau de l'effet :
Réglage de l'accentuation : 0.00
Accentuation :+2.00
Accentuation moyenne :+1.00
Clarté :+0.50
Contraste : 0.00
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Saturation : 0.00
Teinte : 0.00
Effets de filtres :
Virage :
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Mode couleur :
Correction des tons :
Réglage des teintes :
Saturation :
Accentuation :
Latitude :
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Altitude :
Référence altitude :
Cap géographique :
UTC :
Sys coord :
[#End of Shooting Data Section]](https://www.arts-in-the-city.com/wp-content/uploads/2025/10/1-portrait-de-femme-dit-de-mata-hari-1-200x112.jpg)

