Du 1er Avril au 11 Septembre 2017 Musée des Beaux-Arts, Musée de la Céramique, Musée Le Secq des Tournelles//
Pablo Picasso, Le Sculpteur, 1931. Huile sur contreplaqué, 128.5 x 96 cm. Dation Pablo Picasso, 1979.
Cette année 2017 sera marquée par une très forte mise en avant du maître espagnol. Rouen lui consacre une saison exceptionnelle, dans trois de ses musées, déclinant chacun un thème inédit du travail de l’artiste. Des dizaines de chefs-d’œuvre venus des plus grands musées de France se rendront ici, en Normandie, pour raconter une période méconnue mais pourtant fascinante de la création de l’artiste, celle où il vivait dans son château de Boisgeloup avec sa nouvelle muse, Marie-Thérèse Walter. On y découvrira de nouvelles facettes d’un génie qui a su réinventer les techniques traditionnelles de l’art, du dessin à la sculpture, en passant par la gravure et évidemment la peinture. Un parcours unique à ne pas manquer !
Ce que nous en disent La Réunion des Musées Métropolitains :
De nombreux chefs-d’œuvre à découvrir: peintures, dessins, sculptures, céramiques
Dès le 1er avril 2017, préparez-vous à découvrir un épisode méconnu de la vie artistique de Pablo Picasso : son installation en Normandie au Château de Boisgeloup, au début des années 1930, marquant le début d’une intense période inspirée par sa nouvelle muse, Marie-Thérèse Walter. Pour comprendre ce génie aux multiples facettes, pas moins de trois musées de la Réunion des Musées Métropolitains (RMM) s’unissent pour vous proposer une immersion au cœur de son univers créatif. Un parcours unique à ne pas manquer!
Pablo Picasso, Minotaure contre cheval, 1979
Musée des Beaux-Arts Esplanade Marcel Duchamp, 76000
Musée de la Céramique 1 rue Faucon, 76000
Musée Le Secq des Tournelles
Rue jacques Villon, 76000
GALERIE TEMPLON Du 15 novembre au 31 décembre 2025
François Rouan signe ici un face-à-face bouleversant avec la matière. Une vingtaine d’œuvres récentes y composent un parcours sans esbroufe, tendu vers l’essentiel : faire de la surface un lieu d’expérience.
Au musée Bourdelle, l’aile de béton se fait caisse de résonance et orchestre un face-à-face troublant avec Magdalena Abakanowicz, faisant du textile une masse, un poids, une présence.
Nous pensions connaître Dior par ses icônes, ses corolles, ses tailleurs à la taille de guêpe. Nous redécouvrons la maison à travers un autre regard : celui d’Azzedine Alaïa, couturier-collectionneur qui, dans le secret de son atelier, a patiemment rassemblé un patrimoine de près de six cents pièces.