Kimono - Au bonheur des dames

Jusqu'au 22 mai 2017
Musée Guimet //

 

Le kimono est bien plus qu’un vêtement traditionnel ! Il fut un temps le vecteur d’un lien social et le témoin de l’évolution de tout un pays. Aujourd’hui, il continue d’inspirer les plus prestigieux directeurs artistiques et stylistes du monde entier.  Cette exposition se propose d’appréhender l’histoire de ce vêtement et de ses accessoires afin de mieux évoquer la place des femmes et leur image dans la société japonaise, tout en revenant sur son intégration comme pièce tendance dans la mode japonaise et française contemporaine.

Kimono - Au bonheur des dames au Musée Guimet jusqu'au 22 mai 2017

Par sa seule évocation, le kimono appelle tout un univers, des samouraïs aux courtisans,
des jeunes filles en fleur aux artisans textiles. Depuis l’ère Edo (1603-1868) jusqu’à l’époque contemporaine, le kimono a su évoluer, transcender les styles et les époques,  stimuler le secteur de l’industrie textile et se faire une place sur le devant de la scène artistique. Découvrez l’histoire de cette étoffe d’exception longtemps réservée aux femmes, aujourd’hui adoptée et copiée par tous, et rêvez devant les plus belles œuvres de la mythique maison Matsuzakaya fondée en 1611, pour la première fois présentées au public occidental.

>> On a vu, on vous raconte !

 

Le saviez-vous ?
Le terme Kimono provient des mots Kiru et Mono, littéralement “chose que l’on porte sur soi”. Si longtemps il désignait l’ensemble des vêtements, il se réfère aujourd’hui uniquement à cette fameuse robe traditionnelle en T que les femmes portent essentiellement pour de grandes occasions, comme la cérémonie de la majorité “Seijin-shiki” célébrée à 20 ans, âge de la majorité légale au Japon.

Kimono - Au bonheur des dames au Musée Guimet jusqu'au 22 mai 2017

For the first time out of Japan, works of the famous Matsuzakaya House are presented to the public. Through the most beautiful textile pieces, this exhibition takes a fresh look about the evolution of fashion and the role of women in the japan society from the Edo era to contemporary times.

 

Musée Guimet
Jusqu’au 22 mai 2017

6 place d'Iéna, 75016 - M° Iéna (9)
Du mer. au lun. de 10h à 18h
Fermé le mar.
Tarif : 9,50€ - TR : 7€


Vous aimerez aussi…

29. Bustier Schiaparelli par Daniel Roseberry, Baqué Molinié (broderie), HC, AH 2022-2023
  • Découverte
  • Mode

Tisser, broder, sublimer - les savoir-faire de la mode au Palais Galliera

Palais Galliera - Musée de la Mode de Paris
Du 13 décembre 2025 au 18 octobre 2026

Le Palais Galliera célèbre la main qui façonne la mode, entre savoir-faire, gestes rares et matières vivantes.

4eb42ee1-38a9-4fe5-afd6-e831aa483549-0

Joyaux Dynastiques : Pouvoir, prestige et passion (1700-1950)

HÔTEL DE LA MARINE – COLLECTION AL THANI
Du 10 décembre 2025 au 6 avril 2026

Ils ont orné les têtes couronnées, traversé les révolutions et fait chavirer les empires. L’Hôtel de la Marine réunit cet hiver plus de deux siècles d’histoire de la parure, entre faste monarchique et splendeur intime.

robe_compressed
  • Mode
  • Incontournable

Exposition Azzedine Alaïa et Christian Dior à la Fondation Azzedine Alaïa

FONDATION AZZEDINE ALAÏA
Du 1ᵉʳ décembre 2025 au 24 mai 2026

En 1956, le jeune Azzedine Alaïa, tout juste arrivé de Tunis, franchit pour la première fois les portes de la maison Christian Dior. Il y effectue un stage éclair, observe les gestes précis des petites mains, l’allure des mannequins, le ballet silencieux d’un atelier en pleine effervescence. Il n’oubliera jamais ce moment : la naissance d’une vocation, dans le sillage du couturier qu’il considérait comme un dieu.

Christian Dior, Carmen, evening gown © Laziz Hamani
  • Mode
  • Découverte

Alaïa, Le collectionneur qui parlait Dior

GALERIE DIOR
Du 20 novembre au 3 mai 2026

Nous pensions connaître Dior par ses icônes, ses corolles, ses tailleurs à la taille de guêpe. Nous redécouvrons la maison à travers un autre regard : celui d’Azzedine Alaïa, couturier-collectionneur qui, dans le secret de son atelier, a patiemment rassemblé un patrimoine de près de six cents pièces.