Michael Schwan est attiré par la photographie depuis qu’il est tout petit. Devenu son métier, le photographe allemand se passionne notamment pour les grands espaces (entrepôts, demeures, et autres lieux de vie ou de divertissement) abandonnés. Ce thème photographique est connu outre-Atlantique sous le nom de « ruin porn » (littéralement « pornographie des ruines »).
Il n’y a pourtant pas de voyeurisme malsain dans les photographies de Schwan ! Un sentiment d’apaisement se dégage de ces clichés épurés et intrigants, où l’homme semble avoir disparu pour laisser place à la nature, qui reprend ses droits. Magnifique...
La série « Collective Solitude » de May Parlar, nominée pour le Prix Aesthetica Art de 2019, interroge les questions d’appartenance et d’aliénation, du changement constant de l’être en devenir…
Les photographies de Luke Shadbolt immortalisent les instants les plus vertigineux des vagues qui s’élèvent au cœur de la tempête. Prêtes à se rompre, véritable mur d’eau, on les contemple depuis les salons comme jamais nul n’a pu le faire.
A cheval entre la faune et la flore, la nouvelle série « Mimesis » du photographe parisien Seb Janiak propose des clichés étonnants qui revisitent les lois de la nature.
Original ! Laissez-vous surprendre par le travail du photographe Antoine Repessé. Un artiste aux productions surprenantes qui n’hésite pas à soulever une problématique des plus inquiétantes de notre époque : les déchets plastiques !
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