Après des années à suivre le destin extraordinaire de Jean-Michel Coulon, nous assistons non sans émotion à ses premiers pas au Salon du dessin... Une reconnaissance tardive certes, mais d’autant plus éclatante pour cet artiste de l’ombre dont le destin semble tout droit sorti d’un roman.

À retrouver sur le stand de la Galerie Laurentin 

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C’était la technique d’eau la plus populaire au XVIe siècle, si bien que Dürer fut parmi les premiers à en explorer les jeux de transparence. Une leçon que Henri-Edmond Cross saura faire sienne, poussant l’aquarelle à son expression la plus lumineuse. La Galerie de la Présidence dévoile cet ensemble d’une fraîcheur éclatante, et qui plus est, extrêmement rare sur le marché !

À retrouver au stand de la Galerie de la Présidence 

« Moi, je troue » disait humblement Lucio Fontana. Pourtant, l’artiste italo-argentin ne s’est pas seulement contenté de percer des toiles. En témoigne ce dessin préparatoire, trace manifeste de son geste fondateur. Ici, le chef de file du mouvement spatialiste démonte les idées reçues selon lesquelles ses entailles relèveraient d’une pulsion ou tout simplement du hasard.

À retrouver au stand de la Galerie Berès 

Si une seule figure devait incarner l’essence de l’art conceptuel, ce serait lui. Architecte des idées bien plus que de la matière, Sol LeWitt ne faisait pas ; il imaginait. Connu pour ses structures graphiques et ses gigantesques Wall drawings, ce géomètre de l’espace avait la particularité de déléguer la réalisation de ses œuvres hautes en couleur à ses assistants...

À  retrouver au stand Zeit Contemporary Art