Shaka - Anatomie du mouvement

Galerie Lazarew
Du 9 mars au 22 avril 2017

 

3

Peut-être avez-vous déjà rencontré l’œuvre de Shaka, à la Galerie Lazarew où deux expositions lui ont été consacrées, à New-York ou encore dans les rues d’Evry dont ses tags recouvrent les murs. Peu importe l’endroit, son travail n’a pas pu vous laisser indifférent ! En moins d’une vingtaine d’années, Shaka est devenu une figure incontournable de l’art urbain en France. Il se démarque par un style unique, mêlant les influences de la rue à un travail d’atelier minutieux, et explore notamment l’intégration de la sculpture dans la peinture. Des corps fragmentés, colorés, décharnés, nerfs à vifs, se dégage une incroyable énergie ; un mouvement de révolte semble s’en libérer. Ses portraits également sont d’une force émotionnelle peu commune et nous font ressentir toute la violence de la société. Shaka reprend à son compte les mythes antiques pour cette exposition et étudie les mouvements du corps dans des œuvres troublantes. On ressent toute l’urgence de la création dans chacune des oeuvres que vous aurez la chance d’admirer.

In less than 20 years, Shaka has become a major street artist. He mixes up painting and sculpture to represent wasted and nervous bodys and figures. His work is unique and colorful and the artist always tries to denounce the violence of society.

Galerie Lazarew
Jusqu’au 22 avril 2017
14 rue du Perche, 75003 – M° Saint-Sébastien Froissart (8)

Du mar. au ven. de 14h à 19h et le sam. de 11h à 19h
Fermé le dim. et le lun.
Entrée libre


Vous aimerez aussi…

NUS Exotiques #13, 2025 Rhinestones on dye sublimation prints on dibond
  • Découverte
  • Gratuit

Mickalene Thomas : Je t’adore deux

GALERIE NATHALIE OBADIA
Du 19 octobre 2025 au 24  janvier 2026

Ça brille, oui – mais pas pour éblouir. Mickalene Thomas prend le glamour par la surface pour en révéler la couture. Elle découpe, assemble, stratifie : papiers peints rétro, éclats de strass, tissus familiers… L’image, chez elle, n’est jamais donnée.

robe_compressed
  • Mode
  • Incontournable

Azzedine Alaïa et Christian Dior

FONDATION AZZEDINE ALAÏA
Du 1ᵉʳ décembre 2025 au 24 mai 2026

En 1956, le jeune Azzedine Alaïa, tout juste arrivé de Tunis, franchit pour la première fois les portes de la maison Christian Dior. Il y effectue un stage éclair, observe les gestes précis des petites mains, l’allure des mannequins, le ballet silencieux d’un atelier en pleine effervescence. Il n’oubliera jamais ce moment : la naissance d’une vocation, dans le sillage du couturier qu’il considérait comme un dieu.

Christian Dior, Carmen, evening gown © Laziz Hamani
  • Mode
  • Découverte

Alaïa, Le collectionneur qui parlait Dior

GALERIE DIOR
Du 20 novembre au 3 mai 2026

Nous pensions connaître Dior par ses icônes, ses corolles, ses tailleurs à la taille de guêpe. Nous redécouvrons la maison à travers un autre regard : celui d’Azzedine Alaïa, couturier-collectionneur qui, dans le secret de son atelier, a patiemment rassemblé un patrimoine de près de six cents pièces.

Renaissance
  • Gratuit
  • Contemporain

Une double exposition à La Ferme du Buisson !

LA FERME DU BUISSON
Du 12 octobre au 25 janvier 2026 

La Ferme du Buisson se transforme en une traversée sensorielle.