L'exposition The power of my hands au Musée d'Art Moderne de Paris
Mam - Musée d’Art moderne de Paris Du 19 mai au 22 août 2021
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Dans le cadre de la Saison Africa 2020, le Musée d’Art Moderne de Paris réunit un ensemble d’œuvres réalisées par seize femmes originaires de plusieurs pays d’Afrique. Le projet aborde les questions sociales liées à la condition féminine de ces artistes à l’aune de leurs histoires personnelles. Le corps, la sexualité, la représentation de soi, la maternité et la croyance y sont abordées dans une vision qui réunit l’intime et l’universel pour révéler les enjeux soulevés par l’être au monde quand cette relation ne va pas de soi. La peinture, la poterie, la photographie et la performance sont convoquées dans un parcours qui s’annonce comme l’hommage fait à ces générations de femmes qui subitement, par l’art, sortent de l’ombre pour révéler au monde les fondements de leur identité. Le pouvoir est entre leurs mains, et c’est à elles qu’incombe maintenant de faire vivre, jaillissante, la lumière et la puissance de leurs voix et de leur vocation de femmes.
M et T sont des marques de la RATP. Sous réserve de disponibilité, les logotypes de la RATP sont téléchargeables et exploitables gratuitement à partir du site data.ratp.fr dans les conditions visées au sein de celui-ci.
MOBILIER NATIONAL – GALERIE DES GOBELINS Du 4 décembre 2025 au 4 janvier 2026
Sous les voûtes des Gobelins, la soie et le coton racontent quatre siècles d’échanges entre la France et l’Inde, deux nations unies par un même goût du raffinement et de l’invention. L’exposition retrace cette histoire à travers un parcours où l’œil voyage du faste des cours mogholes aux ateliers contemporains de la haute couture.
Susanna Inglada réinvente le dessin en art sculptural et politique : silhouettes fragmentées, papier et céramique dévoilent violence, pouvoir et résistance.
À la Fondation Gianadda, 178 estampes de Goya à Kelly révèlent l’art moderne et contemporain, explorant gravure, lithographie, sérigraphie et expérimentation.
L’abstraction peut tonner, s’imposer, envahir l’espace. Emily Mason a choisi l’exact inverse. L’exposition qu’Almine Rech consacre à cette figure majeure de la scène américaine révèle une peinture débarrassée du vacarme héroïque des années 1950, une œuvre qui avance par lumière plutôt que par emphase.
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