Exposition Alexander Calder à la Galerie Almine Rech : l'art cinétique dans toute sa splendeur
Galerie Almine Rech Du 13 octobre au 12 novembre 2022
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Alexander Calder, le touche-à-tout bricoleur de l’art, fait son grand retour en galerie parisienne. Une exposition unique, sur ce proche de Marcel Duchamp et de Jean Arp qui révolutionnera l’art abstrait en lui apportant volume et couleur. Sa vision singulière de la sculpture bouleversera l’histoire de l’art. Ses mobiles, en perpétuel mouvement, s’animent au gré du vent et des courants d’air, livrant une vision nouvelle perpétuelle au spectateur qui l’observe. Dans cet art cinétique, la nature et l’art ne font qu’un, l’aérien est concilié au terrestre : cette fusion nouvelle, qui rompt avec les conventions, achèvera de faire passer Alexander Calder à la postérité.
M et T sont des marques de la RATP. Sous réserve de disponibilité, les logotypes de la RATP sont téléchargeables et exploitables gratuitement à partir du site data.ratp.fr dans les conditions visées au sein de celui-ci.
Du 15 janvier au 21 mars 2026 Galerie David Zwirner
Il suffit parfois de deux formes presque jumelles pour faire basculer une certitude. L’exposition que David Zwirner consacre à Josef Albers orchestre précisément ce trouble : un jeu d’échos, de glissements infimes, d’écarts millimétrés qui redéfinissent notre manière d’appréhender la couleur.
L’abstraction peut tonner, s’imposer, envahir l’espace. Emily Mason a choisi l’exact inverse. L’exposition qu’Almine Rech consacre à cette figure majeure de la scène américaine révèle une peinture débarrassée du vacarme héroïque des années 1950, une œuvre qui avance par lumière plutôt que par emphase.
Du 27 janvier au 5 avril 2026 BnF - Site François Mitterrand
C’est une histoire d’amour qui n’a jamais pris fin. Celle d’une femme vêtue de noir, silhouette longiligne, regard de braise et voix de velours, qui chantait la fragilité comme on respire. Près de trente ans après sa disparition, Barbara revient sur scène – ou presque.
GALERIE ALMINE RECH Du 18 octobre au 20 décembre 2025
Il y a dans la peinture de Christopher Le Brun une façon rare d’habiter la lumière. L’artiste britannique, ancien président de la Royal Academy of Arts, poursuit à Paris une quête presque métaphysique : celle d’une « peinture pure », affranchie de récit, d’image ou de message, qui ne parle qu’à l’œil et à l’âme.
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