Paris se met aux couleurs des stations de sports d’hiver… //
Un nouveau lieu éphémère va vous faire aimer l’hiver à Paris… Pour fêter ses 70 ans, la célèbre Compagnie des Bateaux-Mouches parisiens a décidé de bluffer les habitants de la Ville Lumière en leur offrant un authentique chalet de montagne, en plein cœur du 8ème arrondissement de la capitale !
Pour cela, ce nouveau « rooftop d’altitude » propose à ses visiteurs une patinoire de 120 m2 avec vue sur la tour Eiffel, de la nourriture digne d’un chalet montagnard, et une décoration ambiance « fondue et feu de cheminée ». Un igloo transparent parfait ce lieu original et dépaysant, qui vous fera passer des vacances à la neige sans avoir à louer vos skis et à revêtir vos moon boots.
Comme quoi, la saison hivernale a parfois du bon…
Hors-Piste - Rooftop de l’embarcadère des Bateaux-Mouches Du 11 janvier 2019 au 14 mars 2019 Port de la Conférence – Pont de l’Alma, 75008 – M° Alma-Marceau (9) Le mercredi de 12h à 20h, du jeudi au samedi de 18h à 0h30 et dimanche de 12h à 20h Entrée libre Tarif de la patinoire : 15€ (patins inclus) – Tarif réduit (Enfant jusqu’à 12 ans) : 10€ (patins inclus) – Gratuit - 3 ans
Susanna Inglada réinvente le dessin en art sculptural et politique : silhouettes fragmentées, papier et céramique dévoilent violence, pouvoir et résistance.
L’abstraction peut tonner, s’imposer, envahir l’espace. Emily Mason a choisi l’exact inverse. L’exposition qu’Almine Rech consacre à cette figure majeure de la scène américaine révèle une peinture débarrassée du vacarme héroïque des années 1950, une œuvre qui avance par lumière plutôt que par emphase.
Du 27 janvier au 5 avril 2026 BnF - Site François Mitterrand
C’est une histoire d’amour qui n’a jamais pris fin. Celle d’une femme vêtue de noir, silhouette longiligne, regard de braise et voix de velours, qui chantait la fragilité comme on respire. Près de trente ans après sa disparition, Barbara revient sur scène – ou presque.
Du 14 février au 19 juillet 2026 Frac Ile-de-France : Le Plateau / Les Réserves
Peut-on vraiment finir une œuvre ? Pierre Bonnard, dit-on, n’y croyait pas. On raconte qu’il se glissait en douce dans les musées pour retoucher ses toiles, corriger une ombre, raviver un ton, incapable de s’en détacher.
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