Nouvelle performance choc de Deborah de Robertis //
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Ce samedi 15 décembre, cinq femmes aux seins nus, recouvertes de peinture argentée, portant une veste rouge et un bonnet phrygien de Marianne, faisaient face aux forces de l'ordre sur l’avenue des Champs-Elysées en plein cœur de la manifestation des Gilets jaunes. Et contrairement à ce que l’on a pu croire, ce n’était pas une action menée par les Femen, mais une performance de Deborah de Robertis, l’artiste luxembourgeoise, habituée au scandale et aux comparutions au tribunal.
Au-delà de l’acte artistique, Deborah de Robertis montre son soutien aux Gilets jaunes. Elle l'avait déjà manifesté sur son compte Instagram en postant une photo de la Liberté guidant le peuple de Delacroix, avec un drapeau jaune à la place du blanc originel.
"La Petite fille au hula-hoop" avait fait son apparition à Nottingham en octobre dernier, pour le plus grand bonheur des habitants. Mais les propriétaires de l'immeuble ont décidé de la vendre à une galerie londonienne pour une somme inconnue.
Des millions de diplômes universitaires américains sont devenus l'œuvre d'art la plus chère jamais estimée. Exposée au Vanderbilt Hall de la gare de Grand Central de New York, l'installation dénonce le coût extrêmement élevé des études supérieures aux Etats-Unis.
Le débat sur la restitution des oeuvres continue à faire rage : une commission nationale nigériane a demandé la suspension d'une vente de statuettes à Paris au sein de la société Christie's, qui auraient été dérobées pendant la guerre civile du Biafra (1967-1970), selon elle, en exigeant des compensations. Mais Christie's a rejeté, fin juin, cette requête, arguant que les objets de la vente ont été obtenus de manière légale.
Une restauration d'œuvre d'art vire au drame en Espagne, après qu'un collectionneur privé eut confié sa Vierge Marie à un restaurateur peu scrupuleux. Âmes sensibles s'abstenir !
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