Exposition en images : Le MAD révèle l'intime, de la chambre au réseaux sociaux
MAD PARIS Jusqu’au 30 mars 2025
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Voilà une exposition qui n’a pas froid aux yeux ! L’impudique Musée des Arts décoratifs de Paris nous invite à entrer dans ce temple de la démesure par un gigantesque trou de serrure... Le ton est donné. Nous pénétrons ici dans le jardin secret de l’intimité, déflorant les mystères feutrés de la chambre à coucher et les dossiers les mieux gardés de notre téléphone portable.
D’un nu relativement sage signé Edgar Degas aux provocants clichés de Nan Goldin en passant par l’incroyable lit en forme de ring de boxe de Masanori Umeda et un scandaleux mur de jouets pour adultes, les artistes anciens et designers contemporains osent plus que jamais se mettre à nu dans cette exposition furieusement libre sur le désir, la quête du plaisir et l’affirmation de soi. Avec malice et exubérance, certains en dévoilent même parfois un peu trop...
MAD PARIS Jusqu’au 30 mars 2025
107 rue de Rivoli, 75001 - M° Palais-Royal - Musée du Louvre (1/7)
Du mar. au dim. 11h-18h, jeu. et
sam. jsq. 21h, dim. jsq. 20h, fermé le lun.
Tarif : 15 € - TR : 10 € - Gratuit -26 ans Plus d'informations Billetterie
Du 27 janvier au 5 avril 2026 BnF - Site François Mitterrand
C’est une histoire d’amour qui n’a jamais pris fin. Celle d’une femme vêtue de noir, silhouette longiligne, regard de braise et voix de velours, qui chantait la fragilité comme on respire. Près de trente ans après sa disparition, Barbara revient sur scène – ou presque.
Il peint comme on respire : avec méthode et mystère. À 87 ans, Léon Wuidar entre enfin dans la lumière parisienne avec une première exposition personnelle chez White Cube. Couleurs franches, géométries tranquilles, aplats vibrants – ses toiles minimalistes racontent cinquante ans de rigueur et de silence.
Jusqu’au 16 février 2026 Cité de l'architecture et du patrimoine
Il suffit d’entrer dans la Galerie des moulages pour sentir que quelque chose se prépare. Une vibration, un souffle, un froissement d’air qui traverse les silhouettes de pierre. Dans cette nef habitée par les architectures médiévales et classiques, Fabienne Verdier déploie son geste.
Jusqu’au 25 janvier 2026 Maison européenne de la Photographie
Il suffit d’un reflet, d’un pan de manteau, d’un geste suspendu pour que la rue bascule en fiction. Avec son regard d’une précision presque instinctive, Sarah van Rij transforme l’ordinaire en scène sensible, pour composer une narration de fragments.
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