Le lapin de Playboy, la frimousse de Minnie, une figure de Dragon Ball Z ou le symbole de Superman… qu’ils sont bien décorés ces paniers traditionnels vénézuéliens. Mais surtout, quel contraste entre la culture du consumérisme et la culture ancestrale. Cette œuvre signée Pepe Lopez montre bien l’identité de ce festival en parallèle de la Fiac, qui met à l’honneur des artistes d'Amérique latine : allier la beauté du classique avec la force de l’art contemporain. Dans les vitrines des boutiques et dans les jardins du Palais Royal, s’exposeront ainsi des créations signées Carlos Medina, Elias Crespin, Antonio Asis, Pepe Lòpez, Soraya Abu Naba'a... Une foire hors-norme qui nous baigne dans des créations ensoleillées et enthousiasmantes.
Tous les jours de 8:00 à 20:30 du 1er octobre au 31 mars
Tous les jours de 8:00 à 22:30 du 1er février au 30 septembre
Tarifs
Billets expositions temporaires
Gratuit
Billets collections permanentes
Gratuit
Accès
Métro
M et T sont des marques de la RATP. Sous réserve de disponibilité, les logotypes de la RATP sont téléchargeables et exploitables gratuitement à partir du site data.ratp.fr dans les conditions visées au sein de celui-ci.
Susanna Inglada réinvente le dessin en art sculptural et politique : silhouettes fragmentées, papier et céramique dévoilent violence, pouvoir et résistance.
Du 15 janvier au 21 mars 2026 Galerie David Zwirner
Il suffit parfois de deux formes presque jumelles pour faire basculer une certitude. L’exposition que David Zwirner consacre à Josef Albers orchestre précisément ce trouble : un jeu d’échos, de glissements infimes, d’écarts millimétrés qui redéfinissent notre manière d’appréhender la couleur.
L’abstraction peut tonner, s’imposer, envahir l’espace. Emily Mason a choisi l’exact inverse. L’exposition qu’Almine Rech consacre à cette figure majeure de la scène américaine révèle une peinture débarrassée du vacarme héroïque des années 1950, une œuvre qui avance par lumière plutôt que par emphase.
Du 27 janvier au 5 avril 2026 BnF - Site François Mitterrand
C’est une histoire d’amour qui n’a jamais pris fin. Celle d’une femme vêtue de noir, silhouette longiligne, regard de braise et voix de velours, qui chantait la fragilité comme on respire. Près de trente ans après sa disparition, Barbara revient sur scène – ou presque.
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